Monsieur le Président,
Nous avions suivi avec attention la vague d'agression médiatique dont a été victime notre Nation, de la part de vos émissaires.
La conférence du 1er Octobre à Paris et le débat du 06 Octobre sur vos ondes nationales, ont été révélateurs quant à vos intentions envers notre Nation.
Appeler au meurtre et au pogrom contre les citoyens Amazighs, est contraire à tout idéal républicain, à toute relation de bon voisinage.
Aussi il est de mon devoir de vous interpeller sur la gravité de tels actes qui menacent la Paix entre nos deux Pays.
Les citoyens Nigériens résidant dans notre Pays n'ont jamais été menacés dans leur existence.
Nous profitons de cette occasion pour vous demander par la même le démantèlement de toutes les colonies de peuplement sédentaire en Pays Touareg par l'installation de chefferies nouvelles (Haoussas, Peulhes, Arabes…) à même de provoquer un déséquilibre géopolitique, prémices de conflits inévitables.
J'ose espérer Monsieur que nous pourrons faire l'économie d'un incident qu'on pourrait éviter si vous écoutez votre bon sens.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute considération.
Nous avions suivi avec attention la vague d'agression médiatique dont a été victime notre Nation, de la part de vos émissaires.
La conférence du 1er Octobre à Paris et le débat du 06 Octobre sur vos ondes nationales, ont été révélateurs quant à vos intentions envers notre Nation.
Appeler au meurtre et au pogrom contre les citoyens Amazighs, est contraire à tout idéal républicain, à toute relation de bon voisinage.
Aussi il est de mon devoir de vous interpeller sur la gravité de tels actes qui menacent la Paix entre nos deux Pays.
Les citoyens Nigériens résidant dans notre Pays n'ont jamais été menacés dans leur existence.
Nous profitons de cette occasion pour vous demander par la même le démantèlement de toutes les colonies de peuplement sédentaire en Pays Touareg par l'installation de chefferies nouvelles (Haoussas, Peulhes, Arabes…) à même de provoquer un déséquilibre géopolitique, prémices de conflits inévitables.
J'ose espérer Monsieur que nous pourrons faire l'économie d'un incident qu'on pourrait éviter si vous écoutez votre bon sens.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute considération.
Le Président de la République de Tumoujgha
